Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/279

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Il était allé en Morvan, il avait couru le Nivernais, il avait poussé jusqu’à Autun.

Partout le pays était tranquille, et ce qui restait de gentilshommes épargnés par la Terreur demandait à vivre en paix.

— Oh ! les lâches ! les lâches ! s’était écriée mademoiselle Diane de Vernières.

— Madame, lui dit Cadenet, nous pouvons encore fuir isolément.

— Fuir !… dit-elle avec indignation.

Cadenet eut un sourire triste et doux.