Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/300

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— Que veux-tu dire ?

— Avais-tu besoin de la permission de Barras pour mettre le feu ?

— Oui, c’est vrai… j’ai eu tort.

— Et si tu voulais suivre mon conseil…

— Eh bien ?

— Tu pourrais bien rester général.

— Comment cela ?

— En brûlant la forêt cette nuit. Les royalistes rôtiront, et tu auras bien mérité de la patrie.

— Ah ! s’écria Curtius, tu as raison…