Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/316

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Il faut pourtant que je les sauve :

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

L’échafaud, sur lequel le chef de brigade Solérol avait expié ses crimes, avait disparu comme un décor de théâtre.

À sa place, on avait élevé un autel, et sur cet autel un prêtre, revêtu de ses habits sacerdotaux, célébrait le service divin.

Au pied de l’autel, une femme, vêtue de noir, était agenouillée à côté d’un jeune homme.