Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/318

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veuve Solérol, consentez-vous à prendre pour époux légitime Henri, comte de Vernières.

— Oui, répondit la jeune femme d’une voix émue.

— Et vous, Henri, comte de Vernières ? dit encore le prêtre.

Henri répondit par un oui joyeux.

Alors le prêtre ajouta :

— Je vous unis en mariage.

Et un murmure de satisfaction courut parmi cette foule agenouillée.