Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/37

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— Et puis, dit le Bouquin, il y a du linge, de l’argenterie…

Brulé haussa les épaules.

— Non, dit-il, il ne faudrait pas piller de ce côté-là.

— Pourquoi ?

— Parce que tôt ou tard il faudrait rendre l’argenterie et le linge.

— C’est juste.

— Tandis qui de l’argent… on ne le rendrait pas, fit le Bouquin d’un air