Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/39

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Et le Bouquin prit un air tout joyeux, et se versa à boire.

— Tu es venu dans le château plus souvent que moi ? dit Brulé.

— C’est vrai.

— Je gage que tu connaissais mieux que moi les habitudes de Solérol.

— Oui et non.

— Ah !

— Par exemple, dit froidement le Bouquin, je n’ai jamais su où il mettait son argent.