Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/41

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que chacun pour soi est un beau proverbe.

— Et la seconde ? fit Brulé.

— C’est que je ne sais absolument rien.

— Là vrai ? fit le fermier en regardant son fils en face.

Le Bouquin soutint, impassible, l’éclat du regard paternel.

— Vrai de vrai ! dit-il.

— Eh bien ! si nous cherchions ensemble.