Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/82

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— Oui, puisqu’il y en a trente.

— Mais que veux-tu faire de cet argent ?

— Je veux acheter une ferme et m’établir.

— On n’a pas une grosse ferme pour quinze mille livres.

— Quinze et huit font vingt-trois.

— Ah ! c’est juste.

Et Brulé se souvint que l’argent que mademoiselle Lange avait donné au Bouquin, et que celui-ci avait enfoui dans le trou à