Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/84

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Le chef de brigade était seul dans la salle à manger.

Je vis un rayon de lumière sous la porte et je regardai par le trou de la serrure.

Quoiqu’il fût près de minuit, Solérol n’était pas ivre.

Il se tenait debout devant une table et comptait des piles de louis.

Sur la table était le petit coffre dont je vous ai parlé.

Il parlait entre ses dents, mais j’entendis ce qu’il disait.