Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/97

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cana le Bouquin. Trente mille livres en or ne se trouvent pas tous les jours sous les pieds d’un cheval.

— Ça, c’est vrai ; mais…

Et Brulé fronça le sourcil.

— Ça vous embête de partager, hein ?

— Ma foi, oui ! dit naïvement le fermier. Est-ce que tu as besoin d’argent, à ton âge ?

— Je suis trop jeune, n’est-ce pas ?

— Oui.

— Et moi qui vous trouve trop vieux,