Page:Porto-Riche - Bonheur manqué, 1889.djvu/42

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Le seul chagrin, le vrai malheur,
C’est le départ de l’amoureuse.
Son voyage est la chose affreuse.
Connaissez-vous cette douleur ?

Nous maudissons notre impuissance,
Nous voudrions nous délier…
Et nous craignons de l’oublier,
Quand se prolonge son absence.