Page:Porto-Riche - Bonheur manqué, 1889.djvu/44

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

On ne te suivra pas ; et, poète calmé,
Je ne t’enverrai plus mes strophes coutumières ;
Tu maudiras alors tes duretés premières :
Tu seras vieille et laide et n’auras pas aimé.