D’argent à la fasce d'azur, accomp. dn trois chouettes de sable, membrées et becquées d'or ; aliàs : d'azur à trois pigeons d'argent, parés de gueules (G. le B.).
Laurent, de la paroisse de Pommeret, anobli en 1451; Michel, vivant en 1530, épouse Catherine le Guilloizer. Fondu dans Lêsèleuc.
Jehannin, év. de Cornouaille.
D'argent à sept molettes de sable. 3. 2. 1.
Guillaume, fait hommage au vicomte de Rohan en 1396; Pierre, et ses hoirs, de la paroisse de Glomel, anoblis en 1175; Jean, chanoine do Tréguier, testa en 1188- et fut inhumé dans la cathédrale.
Jéhannot, sr du Tertre, par. de Saint-Quay, — de Penquer, — de Kerfeimteutij — de Kergestin et de Kersauson, par. de Plouha.
Ext., réf. 1669, sept gén., réf. et montres de 1469 à 1513, par. de Saint-Quay et Tréveneuc, év. de Dol et Saint-Brieuc.
D'argent à la croix fleurdelysée de sable, soutenue de deux lions affrontés de même.
Guillaume, anobli en 1441, épouse Catherine Olivier ; Guillaume, abbé de la Chaume en 1456 ; mais nous ne savons s'il appartenait à la même famille.
Jenville (de).
D'azur à six rats ou glés d'or, 3. 2. 1. ; au chef d'argent, chargé d'un lion naissant de gueules, armé, lampasséet couronné d'or (G. le B.).
Jennière (de La).
De gueules à trois gresliers d'hermines, enguichés d'argent et embouchés d'or (G. le B.), comme Maigné.
Jeune (le), sr de la Morlaye, par. de Missiriac, — de Ramponnel, par. de Caro.
Réf. et montres de 1481 à 1513, dites par., év. de Vannes.
De gueules à la croix d'argent, cantonnée de quatre épis de blé de même (G. le B.).
La branche de la Morlaye fondue vers 1525 dans la Pommeraye ; la branche de Ramponnet fondue vers 1550 dans Callac.
Jeune (le), en breton Iaouancq (le), sr de Botiguéry, par. de Saint-Thonan, — de Trémoguer et de Kerbaronnou, par. de Ploudaniel.
Anc. ext., réf. 1670, six gén. ; réf. et montres de 1453 à 1534, par. de Lesneven, Saint-Thonan et la Forest, év. de Léon.
De sable au renchier ou cerf d'argent ; aliùs : d'or à deux jumelles de sable ; un croissant de même en abyme entre les deux jumelles (G. le B.
Thomas, se croisa en 1248 (cab. Courtois) ; mais nous ne savons à quelle famille le Jeune il appartenait ; Jean, doyen du Folgoat en 1441; Lucas, épouse vers 1481 Stéphane de Brézal.
La branche aînée fondue dans Parscau.