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Page:Potocki - Dix journées de la vie d’Alphonse Van-Worden, 1-3.djvu/306

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après j’entendis donner des coups contre ma porte, et comme les bêlemens d’une chèvre. Je pris mon épée, j’allai à la porte, et je dis d’une voix forte : « Si tu es le diable, tache d’ouvrir cette porte ; car l’ermite l’a fermée ». — La chèvre se tût, j’allai me coucher, et je dormis jusqu’au lendemain.



FIN DU TOME SECOND.