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et je vous le défends par trois raisons. Premièrement, il seroit contre la bienséance que vous devinssiez, en quelque façon, le beau-frère de votre père. Secondement, les saints canons de l’Église n’approuvent point ces sortes de mariage. Troisièmement, je ne veux pas que vous épousiez Inésille. » Mon père m’ayant fait part de ces trois raisons, me tourna le dos et s’en alla.

» Je me retirai dans ma chambre, où je m’abandonnai au désespoir. Ma belle-mère, que mon père informa aussitôt de ce qui s’étoit passé, vint me trouver, et me dit que j’avois tort de m’affliger ; que, si je ne pouvois devenir l’époux d’Inésille, je pouvois être son Cortehho, c’est-à-