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Page:Potvin - L'appel de la terre, 1919.djvu/146

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de ces heures angoissantes ; il fit une prière machinale et il s’étendit tout habillé sur le pauvre lit de camp de sa cellule. Et, dans le lourd silence de l’alcôve, il pleura longtemps de ces larmes qui rongent comme un acide et qui font mal au cœur.