Page:Pouchkine - Eugène Onéguine, trad. Paul Béesau, 1868.djvu/223

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Hélas ! le sort a frappé tout autour de moi ! Heureux celui qui de bonne heure quitta le banquet de la vie avant d’avoir entièrement vidé la coupe ! Heureux aussi celui qui n’acheva pas son propre roman, et le quitta comme je quitte mon Onéguine !



FIN.





Nogent-le-Rotrou, imprimerie de A. Gouverneur.