avec le théâtre Feydeau. — Fusion de l’un et de l’autre en une scène unique sous le nom d’Opéra-Comique. — Le gouvernement impérial rétablit le régime des privilèges, et d’un trait de plume supprime une douzaine de théâtres. — Situation brillante, sous l’Empire, de l’Opéra, de la Comédie-Française et de l’Opéra-Comique|page= 80}}
{{table|titre= Situation désastreuse faite aux théâtres par la Révolution de 1848. — Après cette crise, la littérature dramatique prend tout à coup un essor superbe, grâce aux œuvres d’Émile Augier, Alexandre Dumas fils. Octave Feuillet et George Sand. — Le Vaudeville et le Gymnase abandonnent les pièces à couplets pour le drame intime et la comédie de genre. Personnel remarquable de ces deux théâtres. — Situation artistique de la Comédie-Française, de l’Opéra, de l’Opéra-Comique, du Théâtre-Lyrique et du Théâtre-Italien. Décadence et bientôt disparition de ce dernier. — Les Folies-Nouvelles et les Bouffes-Parisiens. Naissance de l’opérette. Elle se répand de toutes parts. — La seconde liberté des théâtres : décret de 1864, qui fait naître plusieurs scènes nouvelles, le théâtre Saint-Germain