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Page:Pougy - Les sensations de Mlle de La Bringue, 1904.djvu/174

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LES SENSATIONS

moi aussi, leur faire faire ce que je voulais.

Cependant toutes ces surexcitations finirent par me donner comme une maladie de nerfs, je devins presque folle et dans une soirée chez Lebreton, ivre, je répondis à un amoureux que j’avais jusqu’ici éconduit et qui me demandait ce que je voulais :

— Un de tes yeux ! et j’éclatai de rire.

Je me renversai sur le sofa où je m’endormis.