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Page:Pougy - Les sensations de Mlle de La Bringue, 1904.djvu/20

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LES SENSATIONS

dans l’Étendard, Lebreton, sur ce souper, vous, le pall-malliste superbe, dont une ligne dans votre journal, suivi par le Tout-Paris du monde de la littérature et du théâtre, suffit à mettre au jour pour sa vie ou dans le tombeau de l’oubli tel artiste, telle femme, telle maison…

— C’est promis.

Je me rappelai maintenant qui était ce Lebreton.

C’était donc celui-là qui signait dans l’Étendard ces pall-mall-semaines qui faisaient trembler d’Auteuil à Vincennes toute l’aristocratie, depuis les vieux nobles de saint Louis jusqu’aux anoblis de