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Page:Pougy - Les sensations de Mlle de La Bringue, 1904.djvu/51

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DE Melle DE LA BRINGUE

de petits Italiens en haillons. Il me fallut enjamber des chiens peu stylés et sales. Une cour continuait ce vestibule. Elle était sombre et tout encombrée de décors qui semblaient jetés là pêle-mêle dessus le foin répandu sur le bitume.

On pénétrait chez la concierge, logée dans une espèce de voûte sombre, par une sorte de trappe qui ressemblait à une guillotine dont le couperet eût été de bois.

Elle m’indiqua au haut d’un escalier un long corridor.

Dans ce corridor attendait toute espèce de monde.

Ici, c’était, accroupie par terre