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Page:Pougy - Yvée Jourdan, 1907.djvu/61

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YVÉE JOURDAN

Et, en moi-même, je pensais : Quel incomparable secours ! Quel tact, quelle science, quelle indéfinissable délicatesse, que son amitié m’est précieuse !…

J’ai demandé à Flossie, pour quelles raisons, son caprice l’avait tenue éloignée de nous, depuis le mariage de mon frère. Je croyais connaître le motif et l’excuse de sa négligence. Comme je m’étais trompée ! Comme je la jugeais mal et sottement ! Comme elle est loin de toute banalité !

Elle m’a répondu :

— Au risque de te blesser, je te parlerai franchement : C’était Lize… Lize que je n’aimais pas ! Sa présence, entre vous, me