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Page:Pouvourville - Le Tao de Laotseu, 1894.djvu/16

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SEPTIÈME PAGE


Le ciel et la terre sont à l’infini ; le ciel et la terre vivent éternellement à l’infini.
Certainement ils ne se sont pas engendrés eux-mêmes ; c’est pourquoi on sait qu’ils sont éternels.
Ainsi, prendre [en modèle] l’homme parfait, les hommes sont en arrière, [ne peuvent encore] : mais les hommes deviendront [comme] le ciel.
Étrangers lui sont les hommes, mais il leur est affectueux.
Il ne perd rien : seul il ne trompe pas.
C’est pourquoi il peut acquérir, lui seul.