Page:Pozzi - Poèmes, 1935.djvu/7

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Les poèmes qu’on va lire empruntent un surcroît de poésie à la fin prématurée de leur auteur. On y trouve, comme dans tous les écrits de cette jeune femme, le sens de la perfection linéaire par lequel l’âme d’Euclide rejoint celle de Phidias, et qui faisait que, dans le terrestre, elle semblait déjà hors du temps et des caducités de la vie.

julien benda