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Page:Privas - Chansons chimériques, 1901.djvu/118

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Chansons chimèriques







Brouillé, sans rime ni raison,
Avec la coquette Lison
Pour je ne sais quelle incartade,
Je déambulais tristement
Promenant mon humeur maussade
Et mon fâcheux désœuvrement.



C’était le dernier des jours saints.
Le jour où les pieux humains
S’entassant dans les cathédrales,
Du Mort pour leur rédemption.
En des messes pontificales,
Fêtent la résurrection.