Page:Proudhon - Manuel du Spéculateur à la Bourse, Garnier, 1857.djvu/394

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

D’Abscon et d’Anzin à Somain (il transporte aujourd’hui des voyageurs).

De l’usine de Bourdon au Grand-Central.

De Carmaux à Alby.

De la gare de Saint-Ouen au chemin de Ceinture (à construire).

De Commentry au canal du Berry, avec embranchements aux puits Saint-Louis et Saint-Charles.

Du Creuzot au canal du Centre.

De Decize au canal du Nivernais.

D’Épinac au canal de Bourgogne.

Des mines de Fins à l’Allier.

Des carrières du Long-Rocher au canal du Loing.

Des mines de Montieux au chemin de Lyon-Bourbonnais.

Des mines de Montrambert au chemin de Saint-Étienne.

Des mines d’Ougney au canal du Rhône au Rhin, traversant la ligne de Dijon à Besançon.

Des mines de la Roche-Morlière et de Firminy au Grand-Central.

Des mines de Sorbier au chemin de Sainl-Étienne.

De Villers-Cotterets au Port-aux-Perches, sur l’Ourcq.


CHEMINS DE FER SUR LA VOIE PUBLIQUE
desservis par des chevaux.


Par décret du 18 février 1854, il a été fait concession à M. Loubat, pour 30 ans à dater de l’achèvement des travaux, de la ligne de Vincennes à Sèvres, avec embranchement sur Boulogne.

La ligne de Rueil à Marly a été concédée aux mêmes conditions, le 15 juillet 1854, à M. le vicomte de Mazenod.

Par convention du 14 mars 1855, il a été fait concession à la Société bretonne des Tanguières d’un chemin de fer de Rennes à Moidray (baie du Mont-Saint-Michel), pour une durée de 60 ans à dater de l’achèvement des travaux.




CHAPITRE IV.


Navigation maritime et fluviale.


Dans un pays comme la France, couvert d’un réseau de voies ferrées, l’annulation des distances mettant en rapport