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Descartes et Christine, reine do Suède, aux ChampsElysées. Le joueur dans sa prison, essai de monologue dramatique.Mélanges littéraires. Correspondance particulière, avec Voltaire, et avec le roi de Prusse. Suppl. à là Correspondance part.

’D’Alembert a revu toute la partie de mathématiques " et de physique générale de l’Encyclopédie, et il a même refait en entier, ou presque en entier, plusieurs articles considérables relatifs à ces sciences, et qui contiennent, sur des objets élémentaires, des choses nouvelles’, tels que cas irréductible, courbe, équation, différentiel, figure de la terre, géométrie, inJini, etc., et un grand nombre d’autres. D’Alembert a donné en outre à l’Encycloppdie nn nombre assez considérable d’art" 1, de littérature et de philosophie : on peut citer les art. Éléments des sciences, Érudition, Dictionnaire, et plusieurs autres moins considérables, sans compter divers synonymes. Les volumes des Académies des sciences de Paris et de Berlin ren-. ferment plusieurs Mémoires de d’Alembert sur des objets de géométrie transcendante.

ALÈS DE CQKBET (l’abbé d1). Lettre à M. d’Hozier de Serigny

ALÈS DE GORBET (le vie. P.-Alex. d’),. membre des Académies d’Angers et de Marseille, el de la Société d’agriculture d’Orléans ; néje 18 avril 1715, mort en… —Dissertation $ur les antiquités d’Irlande, par Fits Patrich. 1749, in-12.

Attribuée au vie. d’Alès., _

— Examen des principes de gouvernement qu’a.voulu établir l’auteur des Ohservar lions sur le refus du Châtelet/de reconnaître ia Chambre royale. Sans date (1753), in-î ?.,

Attribuée au même. — * Mémoire critique sur un des plus con sïdérahles articles de l’Armoriai général de M. d’Hozier de Serigny, dont on a rendn compte dans presque tous les ouvrages périodiques. 176, in-12.

La France littéraire de 1769 dit qtiron a attribué ceMcmoire’auvie.d’Alès, mais feu A--A.’Barbier, d’nprès l’opinion de Fréron, Année littéraire, tom. IV, pag. 187, l’attribue à l’abbé d’Alès. D’Ho-, zïer répondit peut-tre à la lettre qui porte le nom de ce dernier (Voy. l’article précédent V, et l’abbé répliqua.

-r— * Observations (nouv.) sur les deux systèmes. de la noblesse commerçante où. militaire. Âmsterd. {Paris), 1758, in-12.

— * Origine de la noblesse française. Paris, Desprez, 1766, -12.

— Origine (deT) du mal. Paris, 1758, 2 vol. in-12.

— * Recherches historiques sur l’ancienne gendarmerie française. Avignon 7 Girard, 1759, iu-ia.

Il paraît, d’après la France littéraire de 1769, qu’on a attribué au vie. d’Alès une lettre d’un jeune Jésuite écrite à un de ses confrères, qu’il a désavouée.

ALÈS DU LUDE (MnV d’), sreur dn précédent Abrégé de la Vie de M. Le Pel letier, mort à Orléans, en odeur de sain*-, teté, eii 1766. Orléans, Çouret-de-I’illeneuve, 1760 in-12.

ALÉTHAPHILE, pseudon.V. MERCIER, de Cpmpiègne.

ALÉTHÈS (Irén.), psendon. Voyez VOLT

TAIRE.

ALETHOPHLLE (psend.). Examen du système de Newton sur la lumière ; etc. Voy. ce titre.

ALETHQPHILTJS (Christ.), psendon. Voyez IÎEHRICUS A S. IGKATIO, GarmeliT tanns.

ALEXANDRE. Pièces fugitives sur la carrière du théâtre et sur celle des lettres. Amsterd., et Paris, Moreau, 1779, in-S.’

ALEXANDRE, nom sons lequel trois auteurs ont publié des pièces de théâtre. Voy. BARGIHET, A. BÉRAUD et GŒSDOH.

ALEXANDRE (M™.). Lévite (le) d’Ephraïra, ou la Destruction des BenjaT mites,’pantomime en 3 actes. Paris, J.-N. Barba, ISI3, in-8, 4P cent,

ALEXANDRE, professeur de rhétorique au Collège de Saint-Louis, à Paris. —Méthode pour faire des thèmes grecs d’après la syntaxe de M. Burnouf, combinée avec celle de Lbomopd.Parà, Marguc-r ritte, 1824, in-12.—Nouv. édit., rev. par l’auteur. Paris, Lasnçau, i825, in-12, 2 fr.

Le même a en part, avec MM. Flanclie et de Fau : çonpret, ou Dictionnaire grec-lraneais.

ALEXANDRE (Aug.). Annuaire statistique du département du Pas-de-Calais, etc. Voy. LEDUCQ (ATJG.).

ALEXANDRE (François fils, dit), prof, de langues. Grammaire classique de la languefraneaise.Cinqc édit., rev., corr. etangm. Paris, Brunot-Labbe, Boucher, 1S26, in-12, 1 fr. a5 cent.

La première édit. parut en 1822, sous le titre d’Encore une Grammairelou les vrais Principes de la langue française.

ALEXANDRE (F.). Réflexions sur la nécessité et les moyens de maintenir en France l’abondance et le pris modéré des grains. Paris, 1802, in 8. — Subsistance (des) militaires, considérées sous leurs rapports administratifs et politiques. Paris, impr. de Ballard, 1817, in-S de 44 pag.

ALEXANDRE (Ç.-M.), maître de pension. Manuel épistoîaire, etc. Rouen, Serment ; l’Auteur, I8I’4, in-12.

ALEXANDRE (Jacob). Hisloria pa