Page:Quérard - La France littéraire, t. 9, 1838.djvu/390

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

munes rurales, adressées à la chambre des députés, Issoudun, de l’impr. de Breillat, 1831, in-8 de 36 pag.

THACKERAY. — Nain (le) de Sunderwald, pièce en deux actes et en huit parties (en prose), imitée de l’anglais par M. Thackeray. Paris, J.-N. Barba, 1829, in-8.

THAER (Albert), l’un des premiers agronomes de ce siècle, fondateur de l’école agricole établie à Mœgelin, etc., conseiller d’État de S. M. le roi de Prusse, membre de l’Académie royale des sciences de Berlin, de l’Académie royale de Gœttingue, de l’Institut d’Amsterdam, du département d’agriculture de la Grande-Bretagne, de la Société des amis de l’histoire naturelle de Berlin, et de plusieurs sociétés économiques ; seigneur héréditaire de Mœgelin, etc., mort le 26 octobre 1828, dans sa 77e année.

— Descriptions des nouveaux instruments d’agriculture les plus utiles, trad. de l’all. par C.-J.-A. Mathieu, de Dombasle. Paris, madame Huzard, 1821, in-4, avec 26 planches grav., 13 fr. 50 c.

— Principes raisonnés d’agriculture, trad. de l’allem. par le baron E.-V.-B. Crud. Genève, et Paris, Paschoud, 1811-16, 4 vol. in-4, avec figures, 48 fr. — Sec. édition, revue; corr. et augmentée de nouvelles notes. Paris, Ballimore ; madame Huzard ; et Genève, Cherbuliez, 1828 et ann. suiv., 4 vol. in-8 et Atlas, 48 fr.

THALARIS (Adélaïde de).

On trouve, dans le tome IV du Livre rose, imprimé sons ce nom, une nouvelle intitulée : l’Orpheline, ou la Famille Edgermon.

THALARIS DUFOURQUET, pseudon. Voy. J. Bastide..

THALÉA (Ermelinde). — Laïs (la) philosophe, ou Mémoires et Discours à M. de Voltaire ; — Suite de la Laïs philosophe, on Sentiments de repentir, imitation du roi prophète pénitent. Bouillon, 1761, in-8.

— Sentiments d’une âme pénitente, ou Paraphrase en vers français du pseaume Miserere, par E. Thaléa, avec la traduction en vers allemands, par Christ.-Fréd. Bruchting ; la Conversion de saint Augustin, poëme sacré italien, avec l’interprétation en vers allemands, par J.-Christ. Gottsched. Leipzig, 1764, in-4.

THAN (de), curé de Cheux, anc. recteur de l’université dé Caen, anc. professeur de philosophie du collége Du Bois, de la même université, associé de l’Académie de Caen.

— Grammaire latine et française. Caen, Pyron, 1746, in-12. — Deuxième partie, contenant là syntaxe. IXe édit. Caen, le même, 1775, in-12.

THARIN (Joseph), d’abord évêque de Strasbourg, ensuite précepteur du duc de Bordeaux.

— * Considérations (nouv.) philosophiques et critiques sur la Société des jésnites, sur les canses et les suites de sa destruction. Versailles, Lebel ; et Paris, Le Normant, 1818, in-8 de 288 pag. (D. M.)

— Derniers (les) jours du condamné Félix Robol. Trad. de l’Ital. par Mgr Tharin. Lille, Lefort, 1838, 2 vol. in-18.

— Discours pour le soulagement des victimes de la cause royale, prononcé le 20 mars 1830. Paris, Adr. Leclère, 1830, in-8 de 20 pag.

— Gémissements (les) et les espérances de la religion catholique en France, ou De l’État présent et de l’avenir de l’Église de France. Marseille, Marius-Olive ; et Paris, Adr. Leclère, 1838, in-8, 4 fr.

— * Gouvernement (du) représentatif. Paris, Poussielgue-Rusand, 1834, in-8.— Sec. édition. Paris, Adr. Leclère ; Poussielgue-Rusand, 1835, in-8, 5 fr.

— Lettres de Mgr de Tharin, anc. évêque de Strasbourg, à M. le comte de S***, sur l’ouvrage de M. de La Mennais, intitulé : Paroles d’un croyant. Paris; Rusand, 1834, in-8 de 88 pag., 1 fr. 50 c.

— Méditations religieuses et politiques d’un exilé. Lyon, Rusand, et Paris, Poussielgue-Rusand, 1835, in-18. — Sec. édit. Paris, Gaume ; A. Leclère, Hivert, etc., 1835, in-18, 2 fr.

THARIN (l’abbé), frère du précédent, ancien grand vicaire de Besançon, aujourd’hui retiré à Saint-Cloud.

— * Bibliothèque d’un littérateur et d’un philosophe chrétien, ou Recueil propre à diriger dans le choix des lectures. Besançon, J. Petit, 1820, in-4 oblong.

Avec M. Gloriot.

Les auteurs disent, dans leur préface, que ce n’est pas aux bibliomanes qu’ils présentent leur travail, ils ont eu en vue les personnes du monde, et en particulier les jeunes gens et les jeunes ecclésiastiques. Malheureusement cet ouvrage est défiguré par une multitude de noms estropiés, d’indications