MONTREILLE (de), ps. [Savin].
I, L’IsIc fie Uoliinson Crusoé. Londres cl Paris, I7 : iS, in-li.
II. Œuvres de M. —. Londres [Bordeaux, La Boitière], 17G4, in— 12.
Manuscrit Gourlin.
MONTRÉSOR (de), nom nohil. [Claude de BouRDEiLLE, comtc de].
Voy. la « France littéraire », à MonTltÉSOR.
MONTROL (de), nom abrév. [François MONGIN DE MoNTROL].
Pour la liste de ses ouvrages, voyez la « France littéraire », à Montrol.
+ MONTROND (Max. de) [Cl. M. J. Maxime Fougueux de MûxtrOiND, né en 1805)].
Essais statistiques sur la ville d’Étampes. 4836-37, 2 vol. in-8.
De nombreux ouvras : es d’éducation et de piété, publiés à Paris ou à Lille. Voir la « France littéraire », XI, 148, et le « Catalogue général » de M. Otto Lorenz, t. III, p. 527.
+ MONVAL (Eugène) ou DE MON VAL, [Auguste-Eugène Trente— Livres].
Quelques vaudevilles composés avec divers collaborateurs, notamment « la Muette des Pyrénées ». Paris, 1828, in-8.
MONTVÉRAN (de), nom abrév. [TourNACIIOX DE MoNTVÉRAN].
Pour la liste de ses ouvrages, voyez la « France littéraire », à Montvéran.
MONTYON (le baron de), 7iom nobiliaire [Antoine-Jean-Baptiste Robert Auget, baron de Montyon].
Pour la liste de ses ouvrages, voyez la « France littéraire », à Montvon.
MONVEL, nom théâtral [.lacques-Marie Boutet. l’une des illustrations de la Comédie-Française, et auteur dramatique].
Pour la liste de ses ouvrages, voyez îa « France littéraire », àMoNVEL.
MONVEL fils, ps. [Noël-Barthélemy RouTET, fils du précédent, et ancien secrétaire des commandements de Cambacérès].
Pour la liste de ses ouvrages, voyez la « France littéraire », à MoNVEL, et ajoutez : « le Chant de la Paix. Orléans, 1837, in-8, 12pag.
MONVILLE (de), nom nobil. [T.-C.-G. BoissEL, baron de Monville, mort pair de France]. Pour la liste de se « ouvrages, voy. « la France littéraire », à Boissel DE M.
MONZAMBANE (Sévérinus), ps. (Samuel DE PuFFENDOREf].
L’État de l’empire d’Allemagne, traduit du latin, parSaviniend’Alquié. Amsterdam, J.-J. Schipper. 1(31)9, in-l().
C’est aussi sous ce pseudonyme qu’a été publié l’ouvrage latin de Puffendorff (Genève, 1607, in-18) ; mais il en existe une traduction postérieure à celle que nous venonsdeciter(celledeJ.-Fr. Spon, Strasbourg, 1728), qui a paru avec le véritable nom de l’auteur.
+ MOQUIN-TANDON (A.).
Carya Magalonensis ;’manuscrit du xive siècle, publié par —. Toulouse, 1836, in-8, fac-similé du manuscrit.
Tiré seulement à 50 exemplaires, tous distribués aux amis de l’auteur.
Une seconde édition avec traduction a été publiée sous ce titre : « Carya Magalonensis, le Noyer de Magalonne. Moritpellier, 1844, in-12 ; titre lithographie en or et couleur ; xxvi et 172 p.
Cette chronique apocryphe de Maguelonne, seigneurie de Montpellier, au xiv » siècle, est un pastiche de la langue romane, si habilement écrit, et oii l’auteur a su s’inspirer si bien des idées, des habitudes, des traditions, de la forme du langage dans les vieux temps, que le savant Raynouard y fut complètement trompé. Il écrivit à l’auteur : « .le regarde comme une publication très-utile celle que vous avez faite… J’y ai recueilli plusieurs mots qui entreront dans mon lexique roman !! » G. M.
Voir la « France littéraire », t. XI, p. 335.
MORAINES (Antonius), ps. [.loan. MauTINO.].
Anti-Jansenius. Lutetiœ-Paris., 1652, in-fol.
MORAMBERT (de), nom de bénéfice [Ant.-.Iacq. Labbet]. Pour la liste de ses ouvrages, voy. « la France littéraire », à MoRAMBERT.
+ MORANCEZ (de) [Paul Parfait].
Des articles dans « l’Univers illustré ».
+ MORAND (Altève) [Aumont].
Directeur de divers petits journaux, « l’Appel, le Triboulet ».
Voir G. d’Heilly, p. 230.
MORANGIÈS, nom nobiliaire, [.leanFranç. —Charles de Molette, comte de]. Voy. « la France littéraire » à Morangiès.
+ MORAS (Anne-Marie de), comtesse de Courbon, aut. sup. [Fe chevalier de Mouhy].
Mémoires d’—, écrits par elle-même. La Haye, P. De Hondt, 1739, 4 part, in-12.
+ On trouvera une liste assez étendue des ouvrages de ce fécond et facile écrivain dans la « France littéraire » pour 1758, qui le fait naître à tort à Dijon.
G. M.
MORAT (Frédéric), ps. sous lequel M. Etienne Arago a fait imprimer quelque chose.
MORDAX, ps. [De Lavigne].
I. Bataille gagnée et perdue, tant tués