Page:Quarré - Poésies d’Antoinette Quarré, 1843.djvu/145

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Invocation.



Sylphe à la voix si pure, harmonieux génie,
Ô toi qui dans mon cœur
Murmures des accords d’une grace infinie,
Des chants pleins de douceur,

Des chants qui dans mon ame endorment la tempête,
Puissans comme autrefois,