Aller au contenu

Page:Quarré - Poésies d’Antoinette Quarré, 1843.djvu/334

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
298
LA SYLPHIDE.

Timide, et redoutant cette amante nouvelle,
Je m’enfuirai soudain.

Mais si jamais un jour, le cœur plein, l’œil humide,
D’un sentiment trahi tu connais les douleurs,
Oh ! rappelle-moi vite, et la tendre Sylphide
Viendra sécher tes pleurs.