syllabes est la plus familière à nos odes et la plus majestueuse.
l"’ ?nod~e.
J’ai vu mes tristes journées
Décliner vers leur penchant Au midi de mes années
Je touchais à mon couchant.
La Mort, déployant ses ailes, Couvrait d’ombres éternelles
La clarté dont je jouis ;
Et, dans cette nuit funeste,
Je cherchais en vain le reste
De mes jours évanouis. Rouss. Fortune dont la main couronne Ces forfaits les plus inouïs,
Du faux éclat qui t’environne Serons-nous toujours éMouis ? Jusques à quand, trompeuse idole, D’un culte honteux et frivole
Honorerons-nous tes autels ?
Verra-t-on toujours tes caprices Consacrés par les sacrifices
Et par l’hommage des mortels ? ID. 2’ modèle.
Vers de huit syllabes et vers alexandrins Flambeau dont la clarté féconde
Fait vivre et mouvoir tous les corps ; i Qui, sans épuiser tes trésors,
Ne cesses d’enrichir le monde ; i
Doux père des fruits et des fleurs,