Page:Quillard - Les Mimes d’Hérondas, 1900.djvu/157

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
XIV

Vu qu’on ne peut trouver aisément une maison qui vive sans malheurs, celui qui est plus faible en ceci, en cela, semble-t-il, est le plus fort.