Page:Quillard - Les Mimes d’Hérondas, 1900.djvu/178

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conseille l’usage à Dêmêtêr errante, accueillie sous son toit à Eleusis. En vain Baubô a essayé de ramener le sourire sur la figure de la mère désespérée ; les bonnes paroles, les offres hospitalières ont échoué. Elle disparaît un instant et revient portant un phallos de cuir dont elle se sert cyniquement en présence de sa visiteuse : celle-ci éclate de rire, consolée. Clément d’Alexandrie et Arnobe, avec un zèle tout chrétien ont conservé un texte aussi édifiant (Cf. Mime I, note 4).

2. La lie des marchands. Texte et traduction incertains.

VII

1. L’épine avec le beau collier. Le vers est mutilé ; d’après la restitution de Crusius, il pourrait être question d’un collier garni d’épines comme on en faisait pour les ânes.

2. Kandas. C’est très probablement le tanneur de qui il est parlé vers la fin du mime précédent.

3. Diabathres. Il est très difficile d’identifier les différentes espèces de chaussures énumé-