de longueur sur 16 pieds 1/2 de largeur. Par cette chapelle on pénétrait au chœur en passant sous une grande arcade, et l’un des piliers de cette arcade touchait au mur. D’après le nouveau plan, ce pilier et cette arcade devaient disparaître. La disparition du pilier rendrait le mur tout uni et semblable au pignon correspondant de la chapelle du Rosaire. Pour entrer dans la chapelle du Herlan en venant du portique, on passait sous une petite arcade qui reposait d’un côté sur un pilier attenant à la muraille du côté sud de l’église et de l’autre sur le pilier de la grande arcade. Cette petite arcade devait être enlevée et agrandie. Quant au pilier de la nef sur lequel elle reposait, il devait être élevé à la même hauteur que celui qui se trouvait vis-à-vis du côté de l’évangile, et auquel était adossée la chapelle de la Sainte-Trinité, aujourd’hui disparue. L’autre pilier attenant au mur aurait aussi la même hauteur.
Messire Charles Du Parc, seigneur du Herlan, possédait dans sa chapelle une tombe enlevée, une voûte et une lisière. La tombe était élevée au-dessus du sol de deux pieds huit pouces du roi, et elle était ornée de quatre grands écussons et armoiries en bosse, chacun portant un champ d’or et un lion rampant de sable chargé d’une fasce de gueules. Le seigneur, croyant que l’agrandissement