Page:Régnier - Œuvres complètes, éd. Courbet, 1875.djvu/302

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Epitaphe de Regnier.




Iay veſcu ſans nul penſement,
Me laiſſant aller doucement
A la bonne loy naturelle,
Et ne ſçaurois dire pourquoy
La mort daigna penſer à moy,
Qui n’ay daigné penſer en elle.