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À MAURICE DEMAISON


Prends ce livre, Lecteur. Crois-m’en. Il vaut son prix.
Si j’en sais d’autres où plus haut tonne l’orage
Qui verse sur nos champs le feu qui les ravage
Nul mieux que celui-là n’est plus le nôtre. Lis.

Car en le feuilletant, de croquis en croquis,
Tu peux — vibrant de foi, d’espoir et de courage —
Entendre clairement battre de page en page
Le cœur vaillant, le cœur sublime de Paris.