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1914
Tandis qu’éblouissante et sacrilège torche
Je regarde, avec un frisson,
Reims, ta sublime nef, du chevet jusqu’au porche,
Qui brûle et croule à l’horizon ! »
- 20 septembre 1914.
Tandis qu’éblouissante et sacrilège torche
Je regarde, avec un frisson,
Reims, ta sublime nef, du chevet jusqu’au porche,
Qui brûle et croule à l’horizon ! »