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LA VICTOIRE
« Si je porte à mon dos ces deux ailes divines
Et si ce noir laurier ceint mon front éclatant,
Si cette palme luit à ma main qui la tend,
Si mon nom fait battre les cœurs dans les poitrines ;
« Si mon vol triomphal devant qui tu t’inclines,
Ô Destin, est encor plus beau d’être inconstant,
C’est que je suis toujours le signe qu’on attend
Et que j’ai vu Valmy comme j’ai vu Bouvines ;