Aller au contenu

Page:Régnier - L'abbaye d'Évolayne, 1951.djvu/260

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
248
l’abbaye d’évolayne

Il céda. L’abbaye était plus proche, mais à l’hôtel aussi il aurait du secours. La soutenant il l’entraîna, s’engagea avec elle dans le sentier qui descendait vers la gare. Là, sous les arbres, le chemin était si étroit qu’elle voulut y marcher seule. Puis, sa vue se brouillant à nouveau, elle chancela et il la retint au moment où elle allait tomber. Alors il l’entoura de son bras fortement et elle se laissa conduire, docile, abandonnée, le visage caché contre son épaule.