Page:Régnier - La Cité des eaux, 15e éd.djvu/128

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Est-ce moi, si ce sont elles ?
Tout change et l’on cherche en vain
À faire une heure éternelle
D’un instant qui fut divin ;

Mais tant qu’elles sont vivantes
De ce qui reste de lui
Respire l’ombre odorante
De ces roses d’aujourd’hui.