Page:Régnier - La Cité des eaux, 15e éd.djvu/173

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Ce sont eux qui, des fleurs de ton été, couronnent
Ta jeunesse mûrie à peine par l’automne
Et qui veulent encor que le parfum enfui
De la fleur se retrouve encore au goût du fruit
Et que, devant la mer qui baisse et se retire,
Une femme soit belle et puisse encor sourire.