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Page:Régnier - Le Miroir des heures, 1911.djvu/225

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DON JUAN AU TOMBEAU

La flamme a jusqu’au bout fondu la cire ardente Des cierges consumés au ras du chandelier, Et voici que s’éteint la mèche grésillante.

Les deux moines en froc qui sont là pour prier Et qui, toute la nuit, à genoux sur la dalle, Ont suivi l’oraison aux pages du psautier,