Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
180
LES JEUX RUSTIQUES ET DIVINS
Je tâche d’ébranler les gonds et les verrous,
Tandis que Toi, saignant du poitrail aux genoux,
T’acharnes du sabot à rompre le battant
Et de l’aube à la nuit, furieux, dans le vent,
Agites, tour à tour, sombres ou embrasées,
Les plumes d’ombre et d’or de tes ailes brisées !