Page:Régnier Double maîtresse 1900.djvu/309

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n’y restait plus qu’un seul grain ; elle le cueillit, le roula un instant, se retourna, puis, avec un grand éclat de rire, elle le lança vers M. de Galandot qui, la bouche béante, les yeux écarquillés, les jambes flageolantes et les mains tendues, le reçut juste à la joue d’où il rebondit, tomba à terre et y resta, juteux, doré et comme tout sucré de poussière.