Page:Révéroni Saint-Cyr - Pauliska, ou la Perversité moderne, An 6.djvu/14

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
ij
PRÉFACE


» répondit cette femme intéressante ? Vous le voyez, tout ce que les romanciers modernes ont imaginé en spectres, en fantômes hideux, en perversité imaginaire, n’approche pas de la réalité funeste des évènemens dont j’ai été le jouet, et qui me font croire à la fatalité. Abus, ou plutôt crimes en tout, en morale, en amour, en amitié, dans les arts même ; voilà ce que j’ai vu dans tous les pays où l’infortune m’a conduite. Non, ne portons point le désespoir dans les cœurs ver-