ment, fait sauter le verre, lâche la ficelle
et la boîte monte à la surface.
L’eau filtrait très-peu et je la receuillais
dans un sceau de faïance, mais
comment reboucher l’orifice en retirant
l’écuelle ? Grand Dieu ! le carreau
était tombé en dehors ! impossible de
le rajuster, aucun verre pour le remplacer,
nulle ressource présente ! nous
perdions la tête, nous mourrions d’effroi,
quand tout-à-coup la porte
s’ouvre et nous montre Talbot, Falso,
suivis des autres ouvriers qui venaient
nous réveiller.
Anéantis par cette vue, le vase tombe des mains de Durand, la chambre s’inonde, on accourt, on nous saisit, pendant que les uns retirent la corde et que d’autres bouchent l’orifice avec des carreaux dont ils avaient provision dans cette demeure.