Page:Révéroni Saint-Cyr - Pauliska, ou la Perversité moderne, An 6.djvu/228

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» fera l’objet d’une séance prochaine, et nous avons reçu à ce sujet plusieurs mémoires des Académies affiliées. Je vois cependant avec peine que celle de Paris, non-seulement met une très-blamable lenteur dans la rupture de ses relations masculines ; mais nous adresse un mémoire sur les modifications Ah, mes sœurs ! suivant cet écrit, autant vaudrait laisser les choses in statu quo. Quel si grand attrait a donc pour les Françaises cette espèce bizarre ? A la carnation près, qui est suivant moi sa beauté distinctive ; ses formes sont bien au-dessous de celles de plusieurs animaux qu’on lui croit inférieurs. Toutes fois j’ai choisi une circonstance favorable pour nous procurer un modèle qui me paraît d’une beauté remarquable. »