s’écria Mlle. Fischer, en relevant brusquement
jusqu’au genou la tunique
de Nircé ; la pauvre enfant poussa
un cri, plaça ses mains sur ses yeux
et faillit s’évanouir. « Qu’elle est faible
encore, s’écria la Présidente ! il est
essentiel qu’elle continue à dessiner
le nud, et pour la maintenir dans
la fermeté et l’assurance nécessaires,
deux sœurs de la première
force seront présentes à son étude. »
J’observai que toutes s’offrirent pour
assister la Néophyte et la fortifier dans
ses principes. La Présidente en louant
leur zèle, en choisit deux anciennes
très énergiques, et la Séance fut levée.
Après un quart d’heure de repos, un coup d’aiguillon des surveillantes me dit de reprendre ma position d’Antinoüs ; je me replaçai docilement, ne pensant qu’à Nircé. Elle dit alors à une de ses compagnes :