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Page:Révéroni Saint-Cyr - Pauliska, ou la Perversité moderne, An 6.djvu/417

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Je causai à ce qu’il me parut, deux maux de cœur, trois migraines et un évanouissement, à en juger par les gestes. J’étais choquée de n’avoir pas vu encore une pointe de stilet ; car on assure que c’est-là le coup de force ; et je riais intérieurement de ces singeries, lorsqu’en passant près du Panthéon, je reconnus un de mes patiti en fonction sous une porte. Il en était au cœur blessé et à la tête prise, quand tout-à-coup, il m’apperçoit : soudain, coup de théâtre ; il pense qu’il faut me consoler par un rizforuando, et le voilà qui perd connaissance. Sa belle, furieuse de la perfidie, ferme sa fenêtre avec fracas ; l’amant se débat dans le ruisseau, et je m’éloigne en riant aux éclats de la folie des hommes, et de celle des femmes qui peuvent les croire.

Ces singularités continuelles, ces